Lesilence de la mer fut la première nouvelle publiée aux Editions de Minuit, maison d'édition clandestine qui a vu le jour en 1941 sous l'égide de Vercors et Pierre Lescure. Une vingtaine d'autres titres suivront jusqu'à la Libération,
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Boulede suif de Maupassant : fiche de lecture. « Boule de suif » est l'oeuvre qu'a fait de Maupassant un représentant de la littérature française. C'est cette nouvelle, lue par Flaubert qui lui a valu les éloges du maître que le jeune Maupassant admirait tant. DATE : La nouvelle a été rédigée en 1879 et publiée en 1880 dans le
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Qy1QECL. Voici la saison des guillemots. D'avril à la fin de mai, avant que les baigneurs parisiens arrivent on voit paraître soudain, sur la petite plage d'Etretat, quelques vieux messieurs bottés, sanglés en des vestes de chasse. Ils passent quatre ou cinq jours à l'hôtel Hauville, disparaissent, reviennent trois semaines plus tard puis, après un nouveau séjour, s'en vont définitivement. On les revoit au printemps suivant. Ce sont les derniers chasseurs de guillemots ceux qui restent des anciens; car ils étaient une vingtaine de fanatiques, il y a trente ou quarante ans, ils ne sont plus que quelques enragés tireurs. Le guillemot est un oiseau voyageur fort rare, dont les habitudes sont étranges. Il habite presque toute l'année les parages de Terre-Neuve, des îles Saint-Pierre et Miquelon; mais, au moment des amours, une bande d'émigrants traverse l'Océan, et, tous les ans, vient pondre et couver au même endroit, à la roche dite aux Guillemots, près d'Etretat. On n'en trouve que là, rien que là. Ils y sont toujours venus, on les a toujours chassés, et ils reviennent encore; ils reviendront toujours. Sitôt les petits élevés, ils repartent, disparaissent pour un an. Pourquoi ne vont-ils jamais ailleurs, ne choisissent-ils aucun autre point de cette longue falaise blanche et sans cesse pareille qui court du Pas-de-Calais au Havre? Quelle force, quel instinct invincible, quelle habitude séculaire poussent ces oiseaux à revenir en ce lieu? Quelle première émigration, quelle tempête peut-être a jadis jeté leurs pères sur cette roche? Et pourquoi les fils, les petits-fils, tous les descendants des premiers y sont-ils toujours retournés! Ils ne sont pas nombreux une centaine au plus, comme si une seule famille avait cette tradition, accomplissait ce pèlerinage annuel. Et chaque printemps, dès que la petite tribu voyageuse s'est réinstallée sur sa roche, les mêmes chasseurs aussi reparaissent dans le village. On les a connus jeunes autrefois; ils sont vieux aujourd'hui, mais fidèles au rendez-vous régulier qu'ils se sont donné depuis trente ou quarante ans. Pour rien au monde, ils n'y manqueraient. C'était par un soir d'avril de l'une des dernières années. Trois des anciens tireurs de guillemots venaient d'arriver; un d'eux manquait, M. d'Arnelles. Il n'avait écrit à personne, n'avait donné aucune nouvelle! Pourtant il n'était point mort, comme tant d'autres; on l'aurait su. Enfin, las d'attendre, les premiers venus se mirent à table; et le dîner touchait à sa fin, quand une voiture roula dans la cour de l'hôtellerie; et bientôt le retardataire entra. Il s'assit, joyeux, se frottant les mains, mangea de grand appétit, et, comme un de ses compagnons s'étonnait qu'il fût en redingote, il répondit tranquillement - Oui, je n'ai pas eu le temps de me changer. On se coucha en sortant de table, car, pour surprendre les oiseaux, il faut partir bien avant le jour. Rien de joli comme cette chasse, comme cette promenade matinale. Dès trois heures du matin, les matelots réveillent les chasseurs en jetant du sable dans les vitres. En quelques minutes on est prêt et on descend sur le perret. Bien que le crépuscule ne se montre point encore, les étoiles sont un peu pâlies; la mer fait grincer les galets; la brise est si fraîche qu'on frissonne un peu, malgré les gros habits. Bientôt les deux barques poussées par les hommes dévalent brusquement sur la pente de cailloux ronds, avec un bruit de toile qu'on déchire; puis elles se balancent sur les premières vagues. La voile brune monte au mât, se gonfle un peu, palpite, hésite et, bombée de nouveau, ronde comme un ventre, emporte les coques goudronnées vers la grande porte d'aval qu'on distingue vaguement dans l'ombre. Le ciel s'éclaircit; les ténèbres semblent fondre; la côte paraît voilée encore, la grande côte blanche, droite comme une muraille. On franchit la Manne-Porte, voûte énorme où passerait un navire; on double la pointe de la Courtine; voici le val d'Antifer, le cap du même nom; et soudain on aperçoit une plage où des centaines de mouettes sont posées. Voici la roche aux Guillemots. C'est tout simplement une petit bosse de la falaise; et, sur les étroites corniches du roc, des têtes d'oiseaux se montrent, qui regardent les barques. Ils sont là, immobiles, attendant, ne se risquant point à partir encore. Quelques-uns, piqués sur des rebords avancés, ont l'air assis sur leurs derrières, dressés en forme de bouteille, car ils ont des pattes si courtes qu'ils semblent, quand ils marchent, glisser comme des bêtes à roulettes; et, pour s'envoler, ne pouvant prendre d'élan, il leur faut se laisser tomber comme des pierres, presque jusqu'aux hommes qui les guettent. Ils connaissent leur infirmité et le danger qu'elle leur crée, et ne se décident pas vite à s'enfuir. Mais les matelots se mettent à crier, battent leurs bordages avec les tolets de bois, et les oiseaux, pris de peur, s'élancent un à un, dans le vide, précipités jusqu'au ras de la vague; puis, les ailes battant à coups rapides, ils filent, filent et gagnent le large, quand une grêle de plombs ne les jette pas à l'eau. Pendant une heure on les mitraille ainsi, les forçant à déguerpir l'un après l'autre; et quelquefois les femelles au nid, acharnées à couver ne s'en vont point, et reçoivent coup sur coup les décharges qui font jaillir sur la robe blanche des gouttelettes de sang rose, tandis que la bête expire sans avoir quitté ses oeufs. Le premier jour, M . d'Arnelles chassa avec son entrain habituel; mais quand on repartit vers dix heures, sous le haut soleil radieux, qui jetait de grands triangles de lumière dans les échancrures blanches de la côte, il se montra un peu soucieux, rêvant parfois, contre son habitude. Dès qu'on fut de retour au pays, une sorte de domestique en noir vint lui parler bas. Il sembla réfléchir, hésiter, puis il répondit - Non, demain. Et, le lendemain, la chasse recommença. M. d'Arnelles, cette fois, manqua souvent les bêtes, qui pourtant se laissaient choir presque au bout du canon de fusil; et ses amis riant, lui demandaient s'il était amoureux, si quelque trouble secret lui remuait le coeur et l'esprit. A la fin, il en convint. - Oui, vraiment, il faut que je parte tantôt, et cela me contrarie. - Comment, vous partez? Et pourquoi? - Oh! j'ai une affaire qui m'appelle, je ne puis rester plus longtemps. Puis on parla d'autre chose. Dès que le déjeuner fut terminé, le valet en noir reparut. M. d'Arnelles ordonna d'atteler; et l'homme allait sortir quand les trois autres chasseurs intervinrent, insistèrent, priant et sollicitant pour retenir leur ami. L'un d'eux, à la fin, demanda - Mais, voyons, elle n'est pas si grave, cette affaire, puisque vous avez bien attendu déjà deux jours. Le chasseur tout à fait perplexe, réfléchissait, visiblement combattu, tiré par le plaisir et une obligation, malheureux et troublé. Après une longue méditation, il murmura, hésitant - C'est que... c'est que... je ne suis pas seul ici; j'ai mon gendre. Ce furent des cris et des exclamations - Votre gendre?... mais où est-il? Alors, tout à coup, il sembla confus, et rougit. - Comment! vous ne savez pas?... Mais... mais... il est sous la remise. Il est mort. Un silence de stupéfaction régna. M. d'Arnelles reprit, de plus en plus troublé - J'ai eu le malheur de le perdre; et, comme je conduisais le corps chez moi, à Briseville, j'ai fait un petit détour pour ne pas manquer notre rendez-vous. Mais, vous comprenez que je ne puis m'attarder plus longtemps. Alors, un des chasseurs, plus hardi - Cependant... puisqu'il est mort... il me semble... qu'il peut bien attendre un jour de plus. Les deux autres n'hésitèrent plus - C'est incontestable, dirent-ils. M. d'Arnelles semblait soulagé d'un grand poids; encore un peu inquiet pourtant, il demanda - Mais là... franchement... vous trouvez?... Les trois autres, comme un seul homme, répondirent - Parbleu! mon cher, deux jours de plus ou de moins n'y feront rien dans son état. Alors, tout à fait tranquille, le beau-père se retourna vers le croque-mort - Eh bien! mon ami, ce sera pour après-demain. guy de maupassant
"Je pensai Ainsi, il se soumet. Voilà tout ce qu'il savent faire. Ils se soumettent tous. Même cet homme-là." Ce que j'ai aimé Le silence de la mer fut la première nouvelle publiée aux Editions de Minuit, maison d'édition clandestine qui a vu le jour en 1941 sous l'égide de Vercors et Pierre Lescure. Une vingtaine d'autres titres suivront jusqu'à la Libération, mais c'est le texte inaugural de Vercors qui connaîtra le plus grand retentissement. Le silence de la mer raconte l'histoire d'un allemand qui s'installe pendant l'Occupation chez le narrateur et sa jeune nièce. Il s'agit d'un allemand amoureux des lettres françaises et de l'art français qui souhaite une alliance entre les deux nations qui ainsi s'enrichiront mutuellement de leurs cultures. Si la nièce du narrateur refuse de lui adresser la parole, faisant ainsi acte de résistance, le jeune officier continue de communiquer son enthousiasme, son optimisme, jusqu'à ce qu'il découvre les véritables intentions de son pays et de ses anciens amis, allemands nazis qui pensent qu'il faut détruire l'esprit français pour conquérir la France. Le désespoir va alors s'emparer de lui. "Au carrefour, on vous dit "Prenez cette route-là." Il secoua la tête. "Or cette route, on ne la voit pas s'élever vers les hauteurs lumineuses des cimes, onn la voit descendre vers une vallée sinistre, s'enfoncer dans les ténèbres fétides d'une lugubre forêt ! ... O Dieu ! Montrez-moi où est MON devoir ! " La nièce est l'incarnation de ce qu'aurait dû être la France, digne et silencieuse. Les autres nouvelles ont pour thème la persécution des juifs, Vercors étant lui-même en partie juif par son père, il ne pouvait que dénoncer ces horreurs. Toutefois il a fait le choix de ne publier "Le songe" qui relate le cauchemar des camps de concentration qu'après guerre de façon à ne pas heurter les familles dont un des membres était déporté. "Ce jour-là" est raconté du point de vue d'un petit garçon dont les parents juifs sont arrêtés. Tout en non-dits et présupposés, ce récit gagne en force et touche au coeur le lecteur. D'autres récits encore mettent l'accent sur ces français qui ont cru au "Maréchal", comme Muritz "La marche à l'étoile", Vendresse "L'imprimerie de Verdun" ou encore Renaud dans "L'impuissance", et qui ont vu leur pacte se rompre brutalement. Le Mal rôde inlassablement, et l'homme déchu devient Bête. Le nazisme a réveillé les démons, à l'image de cette vieille dame qui aperçoit un soir devant sa porte Hitler et referme la porte épouvantée, persuadée d'avoir vu le Diable en personne. "Le cheval et la mort" Un recueil à ne pas oublier... Ce que j'ai moins aimé - Rien. Premières phrases "Il fut précédé par un grand déploiement d'appareil militaire. D'abord deux troufions, tous deux très blonds, l'un dégingandé et maigre, l'autre carré, aux mains de carrier. Ils regardèrent la maison, sans entrer. Plus tard vint un sous-officier. Le troufion dégingandé l'accompagnait. Ils me parlèrent, dans ce qu'ils supposaient être du français. Je ne comprenais pas un mot. Pourant je leur montrai les chambres libres. Ils parurent contents." Vous aimerez aussi Inconnu à cette adresse Le silence de la mer, VERCORS, Le livre de poche, euros
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Le Silence de la mer est la première manifestation littéraire de Vercors qui, jusqu'à la guerre, exerçait avec un grand talent l'activité de dessinateur-graveur dans une tonalité essentiellement satirique registre qu'il utilisera parfois dans les nouvelles et romans qui suivront. C'est une oeuvre jaillie du besoin d'affirmer la dignité de l'esprit bafoué par la force, donc une oeuvre engagée, au plus noble sens du terme, le premier acte de résistance intellectuelle, pratiquement la seule forme de résistance possible aux sombres jours de 1941. A cette fin, Vercors fonde avec Pierre de Lescure les Éditions de Minuit, auxquelles participent tous les écrivains qu'unit le même combat, la Grande Bataille du Temporel contre le Spirituel » p. 58 ; parmi eux, de très grands noms Aragon, Éluard, Mauriac. Mais Le Silence de la mer est la première oeuvre à circuler clandestinement, celle, en somme, qui donne un sens profond à la Résistance encore embryonnaire. La préface p. 15 au titre significatif L'atmosphère dominante est caractérisée par le découragement, la lâcheté, l'opportunisme souvent déshonorant. Lafierté de la France est abattue, et a fait place à l'apathie. Le souci dominant et presque exclusif ne pas tropsouffrir du froid et de la faim. Urgence de l'oeuvreDans ce contexte, Le Silence de la mer prend tout son sens, celui d'un appel à la dignité et à l'espérance et ladésignation claire de l'adversaire non l'Allemagne en tant que peuple, mais le nazisme, ennemi de l'Esprit, négateurdes valeurs humanistes qui expriment la personnalité de la France et qui veut transformer l'homme en esclave sur le modèle de ce que le peuple allemand est déjà devenu p. 58. 2. L'oeuvre architecture, mouvements, personnages 1. Structure généraleElle consiste essentiellement en un monologue celui de Werner von Ebrennac, coupé par de courts passagesnarratifs. Le récit est daté il va de novembre 1940 à la fin de l'été suivant, le temps pour l'officier de se révélerprogressivement et pour ceux à qui il s'adresse de vivre leur évolution intérieure. La progression du récit estdéterminée par les apparitions successives de l'officier, les unes brièvement évoquées, les autres donnant lieu audéveloppement du monologue, lui-même coupé de silences révélateurs. 2. Le découpageSi l'on excepte la brève mise en situation pp. 19-20, l'action connaît trois temps a/ Du début à la p. 26L'officier en uniforme ; situation encore conventionnelle ; un occupant poli, face à des civils sur la défensive. b/ De la p. 26 à la p. 47 la partie la plus longue L'officier s'est dépouillé de son uniforme ; le militaire est redevenuun homme qui tente de vivre un rêve oublier la guerre, satisfaire un désir éperdu de dialogue, désir quis'approfondit par une série de touches à lui, une jeune fille interdite, puis de plus en plus bouleversée, et éprouvant de plus en plus de peine à ledissimuler. c/ De la p. 47 à la p. 59Effondrement du rêve. La réalité c'est-à-dire la guerre reprend ses droits. Le rythme du récit s'accélère. L'uniformeréapparaît. Fureur impuissante de l'un, désespoir muet de l'autre. Le mot Adieu sera le seul échange verbal entre la jeune fille et l'officier. Le dialogue, en somme, se réduit au constat de son impossibilité. Comme pourTitus et Bérénice, une fatalité extérieure impose une séparation définitive. Un silence, cette fois inhumain, s'installepour toujours p. 60.Cette conclusion, sobre et déchirante, va bien au-delà d'un récit de résistance et est d'une intense humanité. Les personnages Deux d'entre eux sont pratiquement muets, réagissant par leur silence aux propos de l'officier. Manifestement, au-delà de leur personne, ils ont pour seule fonction d'être les représentants d'un pays occupé, humilié, mais n'ayantpas abdiqué sa dignité on ne peut donc réellement trouver chez eux de la psychologie, des traits de notations individuelles sont vagues l'un est un homme âgé, l'autre une jeune fille. L'un fume sa pipe avec uneapparente placidité, tandis que l'autre feint d'être absorbée par des travaux d'aiguille. Même inexistence departicularité physique, à une exception près concernant la jeune fille p. 41, mais c'est pour refléter le mélange defragilité et de dureté à quoi se réduit sa personnalité. Assis tous deux dans la pénombre p. 21, ils sont figés dansune immobilité hiératique, la nièce est même comparée à une statue p. 28. Cependant, au fil du récit, apparaît unpartage des narrateurC'est le témoin du drame qui se joue entre les deux autres personnages ; mais ce témoin n'est ni neutre, niindifférent. Hors de la présence de l'officier, après avoir formulé un jugement très conventionnel p. 23, il seraitpresque enclin à céder à une sympathie apitoyée p. 29. Sa situation rappelle le choeur dans la tragédie grecque. Ilcommente avec une émotion qu'exprime la seule intensité du regard la tragédie intérieure de sa nièce p. 49, ladouleur de l'officier p. 51. La jeune filleElle a une présence plus intense. Il est vrai que c'est presque exclusivement à elle que l'officier s'adresse, et quedès la p. 25, c'est sur elle qu'il pose avec insistance son regard. De ce fait, il lui impose en quelque sorte dereprésenter charnellement l'âme de la France.. »
Décryptez Le Silence de la mer de Vercors avec l'analyse du ! Que faut-il retenir du Silence de la mer, la nouvelle culte de la littérature française contemporaine ? Retrouvez tout ce que vous devez savoir sur cette œuvre dans une analyse complète et détaillée. Vous trouverez notamment dans cette fiche Un résumé complet Une présentation des personnages principaux tels que Werner von Ebrennac, la nièce et l'oncle Une analyse des spécificités de l'œuvre une nouvelle engagée, le thème du silence et deux personnages métaphoriquesUne analyse de référence pour comprendre rapidement le sens de l'œuvre. LE MOT DE L'ÉDITEUR Dans cette nouvelle édition de notre analyse du Silence de la mer 2016, avec Dominique Coutant, nous fournissons des pistes pour décoder cette oeuvre devenue un classique, véritable symbole de la résistance lors de la Seconde Guerre mondiale. Notre analyse permet de faire rapidement le tour de l'œuvre et d'aller au-delà des clichés. » Stéphanie FELTEN À propos de la collection Plébiscité tant par les passionnés de littérature que par les lycéens, est considéré comme une référence en matière d'analyse d'œuvres classiques et contemporaines. Nos analyses, disponibles au format papier et numérique, ont été conçues pour guider les lecteurs à travers la littérature. Nos auteurs combinent théories, citations, anecdotes et commentaires pour vous faire découvrir et redécouvrir les plus grandes œuvres littéraires. est reconnu d'intérêt pédagogique par le ministère de l'Éducation. Plus d'informations sur
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