OM– Blanco : « Je me sens à l’aise et je suis heureux » Facebook. Email or phone: Password: Forgot account? Sign Up. See more of Stade Vélodrome - OM on Facebook. Log In. or. Create Jeme sens hors de propos. Comment puis-je dire cela, je suis un gars assez réservé et je ne veux pas que les gens me considèrent comme impoli ou quoi que ce soit parce que j'aurais peut-être ignoré une salutation, je suis ici depuis un peu moins d'un mois mais je trouve ça difficile pour me connecter avec mes collègues. Profitezau maximum de temps avec des gens (hommes, trentenaires) qui vous apporte du partage, du bien-être, de la positivité, de l'épanouissement etc. Il est important de TWEN LIEN AVEC JIAN : tw: insultes, alcool, drogue, trouble de l'alimentation, harcèlement sexuel dans son adolescence, +18. TW PERSONNELS : je n'ai pas vraiment de tw. certains Jeme sens à l’aise dans cette équipe, je m’entends bien avec mes coéquipiers, l’entraîneur me fait confiance Du coup, forcément, je joue plus libéré. Du coup, forcément, je joue Peutêtre que je me le permets car du fait de mon travail, je suis hyper à l’aise dans un club, même si je ne le connais pas. Je me sens chez moi dans un club. En plus, cela permet vraiment d Onme remonte dans la chambre, je suis au petits soins monsieur m'a ramené tout un tas de nourriture (je suis gourmande !!!!!), une infirmière arrive et me demande si je peux marcher, ce que je fais sans problèmes ! Elle était étonnée. Ma chirurgienne vient peu de temps après et m'explique comment s'est passé l'opération comment va se passer quand je vais rentrer à la jRvL0gf. Coucou Depuis que je me suis acceptée en tant que Transgenre, je m'habille beaucoup plus femininement... Je me sens plus à l'aise dans mon corps etc... Cependant un des seuls vêtements ou je n'arrive pas à trouver chaussure à mon pied, ce sont les sous vêtements... Alors je viens vers vous pour savoir si vous n'aviez pas des marques ou des modèles à me conseiller, je suis ouvert à toutes marques Moins d’un an et demi après votre départ à Minnesota MLS, vous êtes déjà de retour en Ligue 1 Uber Eats. La France vous manquait ? Oui, un peu tout me manquait, mes amis, ma famille. Vivre une expérience à l’étranger permet parfois de se rendre compte qu’on a beaucoup de chance d’être dans un pays comme le nôtre. Mais je ne regrette pas du tout mon passage aux États-Unis. C’était une opportunité que je voulais saisir. C’est un très beau pays multiculturel à découvrir, mais on n’est jamais mieux qu’à la maison. J’ai fait une saison pleine en 2021, où on a disputé les playoffs, avant de moins jouer la saison passée. Aujourd’hui, je suis très heureux d’avoir rejoint Angers et de retrouver la Ligue 1 Uber Eats, un championnat que je connais très bien. Comment avez-vous vécu cette expérience en MLS ? Comme une première expérience à l’étranger ! Cela m’a obligé à sortir de ma zone de confort. Parfois, on a des opportunités qui ne sont pas forcément les plus évidentes, mais je me sentais prêt à franchir un nouveau cap et à grandir humainement. J’avais beaucoup discuté avec Romain Alessandrini des États-Unis et c’était devenu un objectif pour moi de performer là-bas. Au final, c’était une très belle expérience à vivre. Qu’est-ce que ce passage vous a apporté ? C’est un championnat où tout se fait à l’énergie. Il y a des valeurs et des principes de jeu totalement différents de la Ligue 1. Cela m’a permis d’emmagasiner de l’expérience sur et en dehors du terrain. J’ai découvert une autre culture, un autre environnement, un autre contexte, une autre nourriture… C’était intéressant de pouvoir concilier la vie de footballeur, avec un projet sportif cohérent, et cet aspect de découverte en dehors du foot. Il faut savoir en profiter car une carrière passe vite. Vous aviez donc également fait ce choix pour le projet sportif ? Je suis toujours resté dans une logique sportive. Mon départ aux États-Unis a été vu d’une certaine manière. Les gens disaient que j’allais me faire oublier et que je partais en préretraite mais, pour avoir désormais joué en MLS, c’est un très bon championnat qui ne cesse de se développer. La vision qu’on a en France de la MLS n’est pas le reflet de la réalité. Aujourd’hui, j’ai 28 ans, je suis à un âge où je me sens au top, que ce soit physiquement ou mentalement. J’ai toujours envie de progresser, d’aider l’équipe à atteindre ses objectifs et de gagner des titres. J’avais besoin de m’aguerrir physiquement » Quelles sont les principales différences entre la Ligue 1 Uber Eats et la MLS ? En MLS, tactiquement, la gestion des temps forts et des temps faibles n’existe quasiment pas, c’est un peu plus box to box. En France, on est davantage ancré à des principes de jeu. On analyse plus le comportement de l’adversaire et on sait à quel moment on doit attaquer ou être dans la gestion. On met plus l’accent sur le fait d’être bien en place défensivement avant d’ensuite pouvoir se projeter. Là-bas, il y a plus de liberté, les matchs sont plus ouverts. Comment viviez-vous les longs voyages qu’impose le championnat américain ? Je confirme que c’est long ! Les déplacements sont usants et très prenants. Même si le club est un peu plus côté est, il évolue dans la conférence ouest, donc, quand on allait à Los Angeles, Portland, Seattle, il fallait partir deux ou trois jours avant le match 2448 kilomètres à vol d'oiseau entre Minneapolis et Los Angeles par exemple. Après, les mises au vert étaient totalement différentes par rapport à la France. C’est-à-dire que je n’étais pas obligé de rester à l’hôtel. La MLS nous donne de l’argent pour pouvoir manger et se retrouver entre joueurs ou profiter avec nos amis et notre famille, tout en restant dans une logique sportive d’avant-match. Je trouvais ce côté, où on devait se prendre en main, très intéressant. Cela me permettait aussi de pouvoir découvrir des villes. La préparation d’avant-match était donc différente… En France, on est un peu plus assisté, plus derrière nous, les repas se font avec le groupe. Là-bas, c’est une tout autre approche. Par exemple, à domicile, il n’y a pas de mise au vert, il faut arriver au stade une heure et demie avant le match et, qu’on soit à l’hôtel ou chez nous, il faut se faire à manger. Encore une fois, cela demandait une prise de conscience et de responsabilité que j’ai trouvé très intéressante. Avez-vous la sensation d’avoir une palette plus complète après cette expérience ? Complétement ! Là-bas, j’ai joué seul en pointe, un poste qui n’est pas le mien habituellement, mais j’avais besoin de m’aguerrir physiquement. Il fallait que je devienne un peu plus dur dans mon jeu. En me retrouvant à ce poste, j’ai dû apprendre à davantage prendre la profondeur pour créer des espaces, à plus garder les ballons dos au jeu, à mettre un peu plus les bras, me servir de mon corps et à mieux me situer dans la surface. Le championnat de MLS m’a beaucoup servi sur ces points, donc, oui, je suis plus complet. Après, là où je suis beaucoup plus épanoui, c’est au milieu de terrain ou derrière l'attaquant dans un 4-4-2. Le titre en Coupe de France restera inoubliable et toujours dans mon cœur » Avant de rejoindre Minnesota, vous avez évolué plus de 10 ans au Stade Rennais. Quels sont les plus beaux souvenirs qui vous reviennent en tête ? J’en garde de tellement bons souvenirs, de mon arrivée au centre de formation jusqu’à mon départ… Il y a l’épopée en Europa League lors de la saison 2018/2019, où on passe les poules, on bat le Bétis Séville en seizième de finale avant d’être éliminé par Arsenal. L’ambiance avait été incroyable lors du huitième de finale aller victoire 3-0 du Stade Rennais. Puis, la Coupe de France 2019, forcément. Elle était tant attendue par tout le monde. Pour moi qui ai été formé au club, cette communion avec les supporters était indescriptible. En plus, c’était face au Paris Saint-Germain, au stade de France, et ça, c’était d’autant plus fort. Ce titre restera inoubliable et toujours dans mon cœur. Vous allez justement croiser le Stade Rennais cette saison. Avez-vous déjà coché la date de votre retour au Roazhon Park ? Forcément ! J’attends avec impatience le week-end du 30 avril. C’est obligatoirement une date que j’ai regardée quand le calendrier est sorti. Je serai très heureux d’y retourner et de retrouver les copains, mais j’ai changé d’équipe et je vais tout faire pour qu’Angers gagne à l’aller, le week-end du 23 octobre, et au retour. Rennes a terminé quatrième lors de la saison écoulée. Quel regard portez-vous sur son évolution ? Je ne suis pas surpris par ces bons résultats. Ça fait déjà plusieurs saisons que le Stade Rennais s’inscrit dans une belle logique, avec une participation constante à une Coupe d’Europe. Il y a une certaine continuité, des infrastructures favorables et des moyens qui permettent de progresser chaque année. J’espère que le club va continuer sur cette voie, car il a tout pour réussir de belles choses. Vous avez évoqué un peu plus haut votre positionnement. À quel poste devez-vous évoluer pour exprimer la plénitude de votre talent ? Il y a beaucoup de gens qui me collent cette étiquette d’attaquant. Mais, je le répète, je ne suis pas attaquant ! Je ne vais pas marquer plus de 15 buts par saison. J’ai le sens du but, oui, j’aime me retrouver dans des zones libres, où, certes, je peux atteindre la barre des 10 buts, mais je suis un joueur qui joue derrière un attaquant ou au milieu de terrain. J’ai cette capacité à pouvoir répéter les efforts, à gratter des ballons, à savoir me situer entre les lignes et à organiser le jeu. Mon poste est davantage au centre du terrain. J’ai besoin d’avoir des joueurs autour de moi, de pouvoir combiner avec mes coéquipiers et d’avoir le jeu face à moi. Numéro 8, c’est vraiment le poste qui me convient le mieux » Quels entraîneurs ont réussi à vous utiliser de manière optimale ? Il y a eu Corinne Diacre ! Lors de mon deuxième prêt à Clermont 2015/2016, j’avais fait une saison pleine au milieu de terrain dans un rôle de numéro 8 7 buts et 6 passes décisives en 33 matchs de Ligue 2 BKT. On jouait en 4-3-3 avec un six et deux pointes hautes. Je pouvais venir chercher les ballons et organiser le jeu. Je pense que c’est vraiment le poste qui me convient le mieux. Ensuite, il y a également eu Sabri Lamouchi et Julien Stéphan. Je me sentais à l’aise dans leur 4-4-2, où je tournais autour de l’attaquant. C’est une position où je peux me situer plus proche du but et me montrer plus décisif. C’est le deuxième poste où je peux le mieux m’exprimer. Gérald Baticle va-t-il vous installer à l’un de ces deux postes ? Ça fait partie des sujets importants que j’ai évoqués avec le coach avant ma venue à Angers. Je ne me voyais pas arriver pour jouer au poste de neuf, comme lors de ma deuxième saison à Minnesota, où le coach me demandait de vraiment rester collé aux défenseurs. Je veux retrouver un poste où je peux m’épanouir, car j’ai envie de pouvoir pleinement apporter ma pierre à l’édifice. Quand on ne joue pas à son poste, on ne peut pas donner le meilleur de soi-même. Au début de la préparation, j’ai joué mon premier match au milieu de terrain, où je me suis senti très à l’aise, puis j’ai enchaîné sur un côté, où c’est un peu plus compliqué. C’est un poste où je n’ai pas mes repères, où il faut percuter. Ce n’est pas vraiment un poste pour moi. Après, il faut savoir élargir sa panoplie, répondre à plusieurs systèmes et aux attentes du coach. Je ne suis pas fermé, mais ce n’est pas là où je vais être le plus performant. À quoi ressemblerait une saison réussie pour vous ? Tout d’abord, collectivement, il faut qu’on réussisse une bonne saison. Car le plus important, c’est qu’on se maintienne ! On sait qu’il y a quatre descentes, donc ça va forcément être très compliqué. Chaque point va être important. Ensuite, j’espère réussir à me fondre dans le collectif, bien m’entendre avec mes coéquipiers, prendre du plaisir sur le terrain et en donner aux supporters. Il faut réussir à garder une bonne dynamique et continuer à jouer vers l’avant en gardant notre structure d’équipe tout au long de la saison. Vous n’avez jamais joué le maintien depuis le début de votre carrière. Comment l’appréhendez-vous ? C’est sûr que c’est une autre approche. Mais j’estime qu’en tant que footballeur, on se doit d’avoir cette capacité d’adaptation. Forcément, qu’on joue le haut de tableau ou le maintien, c’est totalement différent. On sait que c’est d’autant plus usant et prenant de jouer sa survie. Parfois, on se dit même que ça ne doit pas être évident au quotidien, mais il faut le vivre pour savoir réellement ce que c’est. Je me tiens prêt ! Angers a connu beaucoup de mouvements depuis le début du mercato. Vous sentez-vous prêt à endosser un rôle de leader ? Pour l’instant, je découvre encore mes coéquipiers. Le fait de jouer un rôle de leader est quelque chose que j’aime, mais je veux l’acquérir en étant performant sur le terrain. J’estime qu’il faut avant tout avoir une certaine légitimité pour cela. Ça viendra naturellement au fil du temps. Mais j’ai envie d’apporter à ce groupe très jeune toute mon expérience en Ligue 1 Uber Eats, mais aussi celle que j’ai pu acquérir à travers les coupes européennes. Je suis en couple depuis environ 2 mois et lui il m’aime mais moi je crois que non, de plus je n’ai pas envie de le voir souvent alors que lui oui tout le temps et je n’arrive pas à beaucoup lui parler par message je ne s’est pas vraiment quoi lui dire . Je pense que je devais le quitter mais je n’ose pas j’ai peur de regretter et de le rendre triste . Ai je peur de m’engager ? Quelle est votre réponse ? Réponse envoyée Nous validerons bientôt votre réponse pour ensuite la publier Une erreur s'est produite Merci de réessayer plus tard Meilleure réponse 22 NOV. 2021 Cette réponse a été utile à 2 personnesBonjour, Merci pour votre message A mon sens, ce n’est pas la peur de l’engagement qui vous pousse à la rupture, simplement pour vous, les sentiments ne sont pas présents. De plus, vous êtes lucide et vous savez très bien que l’amour ne naît pas en deux mois. Laissez vous le temps, la rupture est un processus. Vous sentirez quand il est temps de vous libérer de cette relation. N’hésitez pas à me contacter si vous souhaitez échanger davantage. Je reste à votre écoute avec bienveillance et empathie Bien à vous Marjorie Lugari Psychanalyste Sexothérapeute Praticien en Psychothérapie Marjorie Lugari Psy sur Saint-Maximin-la-Sainte-Baume 4426 réponses 7686 J'aime Réalisez une thérapie en ligne Contacter Cela vous a été utile ? Merci d'avoir donné votre avis ! 21 réponses 12 DÉC. 2021 Cette réponse a été utile à 1 personnesBonjour, De ce que vous écrivez il me semble plutôt que vous avez peur de vous sentir trop seule si vous mettez fin à cette relation, qui vous apporte une sorte de confort narcissique, puisque lui vous envoie de signaux qui rehaussent votre estime de vous même... Il est évident que vous n'êtes pas attirée pour lui... alors, le mieux c'est de vous quitter maintenant, en début de relation. Vous concernant, il serait bon de comprendre si vous avez du mal à vous attacher, ou à communiquer..., et pourquoi vous êtes rentrée dans cette relation si vous ne vous sentez pas à l'aise est-ce dû à votre façon d'être ou à d'autres raisons ? Bonne réflexion. sp Silvia Podani Psy sur Issy-les-Moulineaux 2646 réponses 7226 J'aime Réalisez une thérapie en ligne Contacter Cela vous a été utile ? Merci d'avoir donné votre avis ! 10 DÉC. 2021 Cette réponse a été utile à 0 personnesbonjour il me semble évident que n'êtes pas attirée par cet homme, qui me semble t-il, est un peu envahissant! il veut vous voir tout le temps! alors que ce n'est pas le cas pour vous, vous n'avez rien à lui dire, alors quittez le! c'est votre droit et votre liberté. S'il est triste après la séparation, il est adulte et devrait s'en sortir . Pourquoi vous sentez-vous responsable de sa tristesse? Avez- vous été quittée vous- même ? Était- ce dur pour vous de vous remettre? il me semble que vous souffrez d'un complexe d'abandon , avez vous été abandonnée par l'un de vos parents hospitalisation, divorce, décès, séparation vous évoquez aussi la peur de vous engager? peut être est ce la cas, et pour cela vous quittez avant d'être quitté pour éviter de souffrir, ou peut être tout simplement vous n'êtes pas encore prête. Sondez votre cœur , lui sait ce que vous désirez profondément. je suis à votre écoute si vous souhaitez approfondir la question. bahia Cela vous a été utile ? Merci d'avoir donné votre avis ! 7 DÉC. 2021 Cette réponse a été utile à 0 personnesBonjour Marseilleee, Vous expliquez tout à fait clairement le fait que cette personne ne vous convient Qu'est ce qui vous empêche d'assumer vos choix et d'oser vous expliquer ? Prenez soin de vous. Sandrine Filleul. Psychanalyste. Thérapeute. Evry-Courcouronnes. Cela vous a été utile ? Merci d'avoir donné votre avis ! 23 NOV. 2021 Cette réponse a été utile à 0 personnesBonsoir, Il y a plusieurs questions en effet que vous pourriez vous poser. Est-ce que je suis prête pour vivre une relation ? ou bien, est-ce que cette personne me correspond ? Mais la question la plus cruciale quand on veut avancer dans la vie et notamment avec une autre personne, c'est est-ce que je me connais suffisamment ? Est-ce que j'ai fait le deuil de mes blessures émotionnelles ? Est-ce que je sais gérer mes émotions ? Est-ce que je fais la différence entre les illusions de mon mental et la réalité ? Est-ce que j'ai fait le point sur mes différentes distorsions cognitives ? Est-ce que j'ai fait le point sur mes distorsions ? Bref, est-ce que je me connais vraiment et non par rapport à ce que l'on dit de moi mais davantage sur un aspect psychologique et spirituel. Quel est le courant de pensée qui m'anime ? le romantisme ? le matérialisme ? le progressisme ? l'idéalisme ? l'insatisfaction ? Quels sont mes pensées qui m'amènent à être ce que je suis et à ses réactions. Vous comprenez bien que votre question concerne essentiellement vous et non ce que lui veut. Par exemple, je dirais que vous souffrez d'une injonction qui est le fait plaisir ! Cette injonction vous fait développer un comportement qui vous empêche d'avoir de l'estime de vous-même et vous vous préoccupez davantage des besoins des autres que de vous-même. À vous de voir ce que vous souhaitez. Je reste à votre écoute. Jonathan Jonathan Desjours Psy sur Bordeaux 431 réponses 261 J'aime Réalisez une thérapie en ligne Contacter Cela vous a été utile ? Merci d'avoir donné votre avis ! 22 NOV. 2021 Cette réponse a été utile à 1 personnesBonjour Marseilleeee Si j'ai bien compris, vous avez peur de regretter de rester avec quelqu'un que vous n'aimez pas, que vous n'avez "pas envie de voir sou vent", et à qui vous ne savez "pas vraiment quoi dire", et que vous pensez "devoir quitter" ? Et vous avez peur de vous engager dans ce que vous n'aimez pas ? Ce qui est plutôt sain. ! Un peu de tristesse n'a jamais tué personne et est même nécessaire pour passer à autre chose. Le renoncement à soi, à ses désirs en revanche, se paye parfois cher... Bien à vous, Caroline GORMAND Psychothérapie intégrative, thérapie systémique du couple et de la famille Caroline Gormand Psy sur Clermont-l'Hérault 1498 réponses 2008 J'aime Réalisez une thérapie en ligne Contacter Cela vous a été utile ? Merci d'avoir donné votre avis ! 22 NOV. 2021 Cette réponse a été utile à 0 personnesBonjour, Vous allez peut-être le rendre triste en lui disant la vérité mais vous pourrez lui dire que c'est un cadeau que vous lui faites parce que vous l'estimez, que vous lui rendez ainsi sa liberté pour qu'il trouve la personne qui saura l'aimer et qu'il ne mérite pas que vous lui mentiez. De votre côté, vous voyez vous vraiment rester dans un couple qui n'en n'est pas un il faut être deux à aimer pour cela et vous inscrire alors dans une relation sacrificielle ? Si par ailleurs vous pensez avoir la peur de l'engagement, cela devrait se retrouver dans toutes vos relations, il faudrait alors consulter pour en identifier l'origine et guérir les blessures de votre enfance. Vous ne précisez pas non plus votre âge, si vous êtes encore très jeune, il n'est pas anormal que vous ayez du mal à vous projeter sur le long terme avec quelqu'un. Si vous souhaitiez en savoir plus sur mon approche et mes techniques, n’hésitez pas à me demander un premier échange, gratuit et sans engagement. Je consulte en présentiel ou par visioconférence. Bien à vous Véronique BLANCHE, Thérapeute Holistique Guérison de l’enfant intérieur Hypnose Ericksonienne Soins énergétiques Véronique Blanche Psy sur Saint-Brieuc 4524 réponses 2439 J'aime Réalisez une thérapie en ligne Contacter Cela vous a été utile ? Merci d'avoir donné votre avis ! 22 NOV. 2021 Cette réponse a été utile à 1 personnesBonjour Difficile de répondre à votre question sur la peur de l engagement sans avoir plus d éléments. Avez vous déjà ressenti des sentiments amoureux ? Vous êtes vous déjà engagé dans une relation ? Avez vous envie de construire une relation stable avec quelqu’un ? Pour cette relation il semblerait que vous ne vous sentiez pas à votre place ? Communiquez vous avec cette personne ? Lui exprimez vous ce que vous ressentez ? Avez vous des difficultés récurrentes à discuter avec les gens ou seulement avec cette personne ? De quoi avez vous besoin dans une relation ? Avez vous le sentiment d être vous même ici? Que cherchez vous dans une relation qui ne vous convient pas ? Qu est ce qui vraiment important pour vous ? Je résumerai par les mots respect, être à sa place , communication. Je vous laisse voir comment cela résonne en vous. Laissez votre cœur vous parler… Je reste à votre écoute . Bien à vous Muriel BERTHE Graine de soi Coach professionnelle certifiée et praticienne PNL Muriel Berthe Psy sur Saint-Maur-des-Fossés 74 réponses 109 J'aime Réalisez une thérapie en ligne Contacter Cela vous a été utile ? Merci d'avoir donné votre avis ! 22 NOV. 2021 Cette réponse a été utile à 0 personnesBonjour, Pour pouvoir parler de peur de l'engagement, il faudrait pouvoir mesurer la peur de perdre l'autre. Or, vous le dites bien pour le moment vous n'éprouver pas de sentiment. La peur lorsqu'il s'agit de sentiment, il faut dans un premier temps qu'il y est une notion d'appartenance pour que la perte soit possible. Cette relation existe par ce qu'elle doit vous apporter quelque chose. Il s'agit peut-être pas de sentiment amoureux mais autre chose qui vous sécurise ou vous réconforte. Elle est là pour combler un manque. Maintenant, il s'agit de savoir de quoi il en retourne. Vous rendrez peut-être votre ami triste sur le moment mais le temps fait les choses. Laissez vous le temps et surtout penchez-vous su r vos interrogation cela pourra vous être utile dans vos relations amoureuses futures. Je reste à votre disponibilité sur vous le souhaitez. Bien à vous. Magalie Éducatrice spécialisée et Praticienne en Thérapie Brève EFT Technique de libération émotionnelle. Cela vous a été utile ? Merci d'avoir donné votre avis ! 22 NOV. 2021 Cette réponse a été utile à 0 personnesBonjour, En 2 mois il n'y a pas vraiment de découverte de l'autre. Vous voyez vous au moins chaque semaine pour garder un lien ? Vous sentez vous bien avec lui ? Laissez vous le temps de prendre cette décision et de le découvrir. Rien de presse Mélissa - Shiva Coaching Coach développement personnel / mieux-être Thérapie en ligne Mélissa Lheritier Psy sur La Courneuve 526 réponses 183 J'aime Réalisez une thérapie en ligne Contacter Cela vous a été utile ? Merci d'avoir donné votre avis ! 22 NOV. 2021 Cette réponse a été utile à 0 personnesBonjour à vous Je vous conseille de ne pas vous mettre de pression avec votre partenaire, cela fait seulement 2 mois de relation et nous évolution chacun a notre rythme. En revanche si vous ne vous sentez pas bien avec cette personne il est important de lui communiquer ce que vous ressentez par respect pour vous et pour votre partenaire. Écouter votre cœur et vos ressentis, faites ce sui est juste pour vous sans culpabiliser. Si vous devait être avec cette personne la vie vous la remettra sur votre route. Si vous avez besoin d’en parler je suis disponible avec bienveillance. Les éclairages de Laetitia - Laetitia Rouquayrol - therapeute holistique - accompagnante en féminin et en renaissance de soi - énergéticienne - guidance oracle Laetitia Rouquayrol Psy sur Nîmes 56 réponses 18 J'aime Réalisez une thérapie en ligne Contacter Cela vous a été utile ? Merci d'avoir donné votre avis ! 22 NOV. 2021 Cette réponse a été utile à 0 personnesBonjour Marseilleeee, Non, ce n’est pas forcément la peur de l’engagement ici, mais plutôt un manque criant de sentiments. Quand ils ne sont pas présents, il faut souvent se forcer un peu pour faire des choses avec son partenaire. Je ne parle pas uniquement des moments intimes, mais même de sortir dans des endroits où l’on n’aurait pas été seule. Votre mal-être vient du fait que vous éprouvez un peu de lâcheté en ce moment. C’est également de la lâcheté envers vous-même parce que vous n’arrivez pas à mettre fin à cette relation avec lui. C’est aussi de la lâcheté pour cet homme dont vous ne lui exprimez pas clairement votre ressenti. Il est vrai qu’il va être blessé par votre choix de ne pas poursuivre. Mais ne pensez-vous pas qu’il est préférable de ne pas attendre plus pour éviter qu’il ne s’attache encore plus et donc souffre davantage ? C’est une évidence. Pour faire un couple, il faut être deux à le vouloir. Ici, ce n’est pas votre cas. Prenez votre courage à deux mains et exprimez-lui votre perception de la situation. Je reste à votre disposition et à votre écoute, Christophe Thérapeute de couple - Sexothérapeute Rendez-vous en ligne uniquement pour plus d’intimité par téléphone, visioconférence ou mail à votre convenance. Christophe Nieaux Psy sur Melun 1576 réponses 1181 J'aime Réalisez une thérapie en ligne Contacter Cela vous a été utile ? Merci d'avoir donné votre avis ! 22 NOV. 2021 Cette réponse a été utile à 0 personnesBonjour Il semble que vous ayez du mal à clarifier vos sentiments, et voir qu’elle suite vous voulez donner à votre relation. Il se peut que vous souhaitiez y mettre fin mais il est possible également que l’engagement vous fasse un peu peur, il serait intéressant d’avoir l’aide d’un thérapeute afin de travailler sur vos émotions et j va pus aider à faire un choix qui soit le plus authentique possible N’hésitez pas à me contacter si besoin Bonne journée Cela vous a été utile ? Merci d'avoir donné votre avis ! 22 NOV. 2021 Cette réponse a été utile à 0 personnesBonjour, Il est important avant tout de penser à votre besoin plutôt qu'au risque de rendre l'autre triste car la séparation n'est jamais évidente pour l'un comme pour l'autre. J'ai plutôt l'impression que vous n'osez pas prendre cette décision qui semble s'imposer à vous alors que vous commencer à "subir" une relation dans laquelle vous ne vous épanouissez plus. Je ne suis pas sûre que cela soit une question de peur d'engagement mais tout simplement d'adéquation avec l'autre..... je pense que vous aurez tout le loisir prochainement de vous épanouir et vous engager si vous le souhaitez mais avec la personne qui vous conviendra! Bonne journée Hardy Bianca Psy sur Corbeil-Essonnes 15 réponses 8 J'aime Réalisez une thérapie en ligne Cela vous a été utile ? Merci d'avoir donné votre avis ! 22 NOV. 2021 Cette réponse a été utile à 0 personnesBonjour, Quelle définition donneriez-vous au mot couple » ? C’est quoi pour vous un couple ? Qu’y avez-vous mis comme attentes, comme projections ? Vous dites qu’il vous aime mais que vous non, que vous croyez que non… Aimer c’est un état d’être, c’est un ressenti, ce sont des vibrations, des étincelles dans les yeux, l’envie d’être avec l’autre à chaque instant. C’est ressentir du désir. Si vous doutez, alors c’est que le sentiment amoureux n’est pas, tout simplement ! Avez-vous parlé d’engagement avec cet homme ? Qu’attend-il de la relation ? Et vous-même ? Avez-vous pris le temps de vous asseoir l'un en face de l'autre et vous dire chacun votre tour sans vous interrompre, quels sont vos désirs, vos envies, vos préférences, vos besoins, vos valeurs, vos limites ? Vous êtes-vous dit comment vous voyez la relation, comment vous l'avez rêvée ? Soyez attentive à la petite voix intérieure qui dit non. Ecoutez-là et soyez honnête avec lui afin qu’il puisse sentir libre d’aller vivre ailleurs ce qui ne résonne pas pour vous. Et s'il est triste, cela lui appartient, il s'occupera de sa tristesse. Et en même temps, profitez de cette expérience pour vous questionner lors d’une prochaine rencontre, de quoi ai-je vraiment envie ? Je reste à votre écoute. Claire Thomas, Psychosomatothérapeute Claire Thomas Psy sur La Chapelle-Caro 1160 réponses 956 J'aime Réalisez une thérapie en ligne Contacter Cela vous a été utile ? Merci d'avoir donné votre avis ! 22 NOV. 2021 Cette réponse a été utile à 0 personnesBonjour, Merci de votre message, Pourquoi en arriver à une telle conclusion? Je vais résumer ce que vous nous écrivez Vous ne croyez pas l'aimer, n'avez pas envie de le voir souvent, n'arrivez pas beaucoup à lui parler par message, ne savez pas vraiment quoi lui dire, et pensez que vous devriez le quitter. Tout ce que vous "savez" montre que vous ne kiffez pas ce garçon. Par contre, vos peurs pourraient vous faire prolonger cette relation qui ne vous fait pas vibrer. Si vous enlevez la peur, que feriez-vous? Cette difficulté à trancher, à prendre une décision, vous arrive-t-elle par ailleurs dans votre vie? L'émotionnel vient perturber votre faculté à décider pour vous-même. Et plus particulièrement la peur de faire du mal à autrui. Je pense que cette peur ne date pas d'aujourd'hui, et qu'il vous serait bénéfique de revenir dans votre histoire, pour en trouver la source, et de la guérir. Afin de prendre les décisions qui sont bonnes pour vous. Il est possible que ce garçon soit triste quelques jours, mais pas longtemps, car votre histoire a été de courte durée. Je vous reçois en rdv avec plaisir, dès que possible Bien cordialement Inès AVOT Inès Avot Psy sur Lille 4557 réponses 1937 J'aime Réalisez une thérapie en ligne Contacter Cela vous a été utile ? Merci d'avoir donné votre avis ! 22 NOV. 2021 Cette réponse a été utile à 1 personnesBonjour Quel est le lien avec le sentiment de peur de s'engager dans cette situation où il me semble vous n'éprouvez pas de sentiment ? Est-ce que l'on peut s'engager si on éprouve pas de sentiments amoureux ? Je pense que non. Pour s'engager, il faut pouvoir se projeter avec l'autre. Il me semble que dans votre décision est prise de le quitter mais vous avez peur de le faire souffrir, de le rendre triste. Mais une rupture engendre forcément de la souffrance chez l'autre et aussi à soi. Et c'est ce conflit entre le désir de partir et le désir de ne pas faire souffrir l'autre qui crée de la culpabilité. Il faut dépasser cette culpabilité pour faire ce choix de le quitter. En espérant que toutes ces réponses vous ont éclairé, prenez soin de vous. Séverine Loyer Séverine Loyer Psy sur Pau 26 réponses 17 J'aime Réalisez une thérapie en ligne Contacter Cela vous a été utile ? Merci d'avoir donné votre avis ! 22 NOV. 2021 Cette réponse a été utile à 0 personnesBonjour, Quel lien faites-vous entre la peur de l’engagement et le fait de ne pas ressentir de sentiments ou de manque pour une personne ? Ne serait il justement pas plus étrange si vous aviez le sentiment d’être amoureuse et de faire en sorte de le fuir ? Pourquoi devriez vous regretter le fait de quitter une personne à qui vous n’avez rien à dire et que vous n’aimez pas ? Enfin imaginez être amoureuse d’un Homme qui semble ne pas s’intéresser à vous, préférez-vous souffrir un bon coup tout de suite ou attendre quelques mois en espérant encore et encore pour une souffrance bien plus grande le jour où il décide de vous quitter ? Cordialialement. David Bitton David Bitton Psy sur Le Mée-sur-Seine 25 réponses 9 J'aime Contacter Cela vous a été utile ? Merci d'avoir donné votre avis ! 22 NOV. 2021 Cette réponse a été utile à 0 personnesBonjour, Je ne pense pas Quilier un problème d’engagement de votre part. Deux mois est une période courte, mais si vous n’avez pas développer de sentiments amoureux, je pense en effet qu’il faut peut-être parler à cette personne et lui avouer tout cela. Vous ne pouvait pas rester avec quelqu’un que vous n’aimez pas…. Il faut juste trouver les bons mots pour cette personne.. Si vous avez besoin de conseils n’hésitez pas à me contacter.. Je reste à votre écoute Bien à vous Magali Del Picchia Cela vous a été utile ? Merci d'avoir donné votre avis ! 22 NOV. 2021 Cette réponse a été utile à 0 personnesBonjour, Pour avoir peur de s'engager, il faut en avoir envie... L'envie de s'engager vient quand on ne peut plus se passer de l'autre, que les projets se font à deux et le premier engagement concret est de vivre ensemble. Vous nous dites ne pas avoir envie de voir quelqu'un à qui vous n'avez rien à dire. À risquer de plonger très loin vous même dans la tristesse parce que vous forcez une histoire dont vous n'avez pas envie, pensez vous que vous pourrez éviter de le rendre triste longtemps ? Belle journée. Anonyme-394302 Psy sur Ranspach 226 réponses 142 J'aime Réalisez une thérapie en ligne Cela vous a été utile ? Merci d'avoir donné votre avis ! 22 NOV. 2021 Cette réponse a été utile à 0 personnesBonjour, En lisant votre texte je ne pense pas que ce soit une peur de vous engager mais comme vous le dites très bien, vous n'avez pas ou peu de sentiments pour cette personne. 2 mois c'est court pour que des sentiments naissent alors vous verrez bien si vos sentiments évolues ou pas. Si vous êtes ou clair avec vos sentiments vous ne le regretterez pas et en effet il sera certainement triste. Mais vous ne pouvez pas rester dans une relation qui ne vous convient pas. Je reste à votre écoute, prenez bien soin de vous. Karine Lozano Cela vous a été utile ? Merci d'avoir donné votre avis ! 22 NOV. 2021 Cette réponse a été utile à 0 personnesBonjour, Visiblement vous n'êtes pas amoureuse sinon vous auriez toujours envie d'être avec lui ! Il vaut mieux vous donner la chance de rencontrer l'amour que de rester avec une personne que vous n'aimez pas, sinon vous pourriez de le regretter. Et c'est en restant plus longtemps avec lui que vous risquez de le faire souffrir car il n'y a rien de pire que de vivre un amour qui n'est pas réciproque. Soyez authentique et bienveillante envers lui. Avec toute ma sensibilité Chantal JEAN Thérapeute en Relation d'Aide Séances en face à face à Paris 5e ou en visioconférence sur Skype ou Messenger Chantal JEAN Psy sur Paris 504 réponses 213 J'aime Contacter Cela vous a été utile ? Merci d'avoir donné votre avis ! 20 NOV. 2021 Cette réponse a été utile à 0 personnesBonjour, Soit, vous changeriez de classe ou d'école, parce que, vous seriez surdoué, terme général, soit, vous connaissez une autre sensibilité, ou bien, il semble que vous avez d'autres savoirs, ou encore, une autre connaissance des choses de la vie, ou expérience, ou centres d'intérêt, ou que vous êtes quelqu'un de plus discret. Peut-être, pourriez-vous passer quelques tests de Qi, pour le cas où, une différence serait celle-ci. Également, vous avez peut-être, eu, déjà, une vie différente, et votre rapport à la vie, n'est, alors, pas le même. Ou, tout simplement, vous êtes ouvert à d'autres choses, dans la vie. Très éveillé. Si vous n'êtes pas dans des extrêmes, extrême surdouance, extrême sensibilité, mais juste différent ou éveillé, ce qui est déjà pas mal, ou très bien, mâture, peut-être parce que votre éducation, peut-être auprès de votre père, vous a déjà, formé, ainsi, alors, vous pouvez faire en fonction, adapter votre nouvelle forme de conscience, en sachant évoluer, pour vous-même, différemment. Votre situation d'étudiant, peut-être ou sans doute, peut être, d'évoluer parmi les groupes, sans trop vous y attacher, mais en profiter pour vivre d'autres espaces temps, autrement. Aussi, continuez d'évoluer vers ce que vous aimez, et ainsi, rencontrer d'autres personnes ou activités. Même si, vous vous trouvez être étudiant parmi d'autres, sans réelle âme à ça, ce n'est qu'un passage, restez surtout qui vous êtes, et continuez, encore une fois plutôt d'aller vers ce que vous pourriez maître en œuvre ou ce qui vous apportera, également, à vous. Avez-vous demandé à participer aux activités internes à l'établissement où vous êtes ?.... Surveillant, bibliothécaire, je ne sais pas... Ainsi, vous connaitriez une autre position. Toutefois, encore une fois, même au sein d'un établissement, parmi d'autres de votre âge, vous pouvez vous plonger dans les livres, ou une passion, le football, je ne sais pas et échanger avec des personnes qui auraient les mêmes centres d'intérêt que vous. Il vaut mieux ça, connaître une conscience, qu'être bête ou inconscient. Votre intelligence est votre grâce. Peut-être, votre vie est-elle ailleurs, poursuivez cette voie. Et, peut-être deviendrez-vous speaker animateur de football, à la télévision. Je ne sais pas pourquoi, j'ai cette vision. C'est perdre sa vie, que de ne pas se sentir bien, quelque part. On peut rencontrer d'autres mondes, dans les livres, sur internet ou les médias, là peut-être, pourrez-vous vous reconnaître auprès d'autres, avec d'autres, et vivre écho. Vous avez la vie, devant vous, ce passage ne doit pas vous priver de votre grandeur et finesse, certainement. Peut-être, avez-vous un monde intérieur, qui ne demande qu'à s'exprimer. Très respectueusement. ... Pour ce qui est, de vous faire des amis, il n'y a que, si vous êtes aligné à vous-même, en phase, comme vous le dites, que vous pourrez vivre en adéquation, dégager pleinement qui vous êtes, ce qui vous rendra plus épanoui et heureux, et attirera de meilleures relations. Si vous sentiez encore autre chose, qui indique une différence, même si je ne le pense pas forcément, certains garçons se posent des questions, sans doute, sur leur statut social et vie plus intime. Mais, je ne pense pas du tout, que cela soit forcément votre cas , je reste en tout cas, à votre disposition. Si ce profil décrit n'était pas le reflet de votre vie, que j'aurais alors, mal sondée, peut-être que, vous connaissez déjà une expérience, que vous n'arrivez pas à partager, mais je vous soutiens dans votre éveil à la conscience ou évolution. Je vous reste disponible. Ne forcez pas les relations, mais restez vous-même. Lou Sarah. Sheyen Evolving Psycho-practice Transpersonnel. ik terug naar mijn chaque fois que je me sens submergé je fais une transition mentalement vers une meilleure version de ik me overweldigd voel verplaats ik me mentaal in de betere versie van mon père aurait dit pour moi;Il mourut en 2004. vader zou hebben gezegd voor mij;Hij stierf in 2004.Quand je grandi un peu je suis venu à savait queToen ik opgroeide een beetje ik kwam wist datVoor het eerst voelt North Carolina als mijn viens ici et ça me rappelle que… les flingues sont ik eenzaam of depressief ben ga ik hierheen en dan weet ik weer… dat wapens leuk het eerst sinds een tijdje… voel ik me ook weer Lewis quel bonheur de recevoir tes lettres à chaque fois que j'en lis une je me sens plus proche de Lewis wat fijn om jouw briefen te ontvangen elke keer als ik er één lees voel ik me dichter bij et ce sera encore pour toujours je me sens plus engagée dans ce chemin plus que la première fois et je me suis fait une promesse que quoi qu'il arrivera je serai en het zal nog voor altijd zijn voel ik me nog meer geëngageerd op die weg dan de eerste keer en ik heb mezelf beloofd dat wat er ook gebeurt ik er zal me niet verkeerd. Zodra ik iemand vertrouw durf ik te experimenteren en word ik heel gul. Uitslagen 131, Tijd

je me sens à l aise